Le genou de Marroca à la plage
Double-page 8/9 de Marroca. L'affichage est un peu petit, clic-clic sur l'image pour l'agrandir et découvrir l'audacieux plan séquence de la scène...
Humeur du patron : tout est dans le titre... pour ceux qui connaissent l'oeuvre de Rohmer, l'hommage doit leur paraître évident. J'encourage vivement les autres à visionner les films de cet auteur majeur, à la croisée de la Nouvelle Vague et de l'expérimentation empruntée au théâtre. Ne pas se décourager face à la diction particulière des personnages, se laisser emporter par leurs tourments passionnés, découvrir l(es)' amour(s) sous un jour différent et pourtant si banal, et la magie opère. Rohmer est un des (trop) rares à faire en sorte d'élever son public, mais sans mégalomanie ni snobisme, car certain de l'intelligence et de la sensibilité de tous.
Avec un ami, nous nous étions récemment pris à rêver qu'il tournerait jusqu'à plus de 100 ans, comme Oliveira... Dommage...
Et au passage, profitons de cette rubrique nécrologique : ciao Mano !
Humeur du patron : tout est dans le titre... pour ceux qui connaissent l'oeuvre de Rohmer, l'hommage doit leur paraître évident. J'encourage vivement les autres à visionner les films de cet auteur majeur, à la croisée de la Nouvelle Vague et de l'expérimentation empruntée au théâtre. Ne pas se décourager face à la diction particulière des personnages, se laisser emporter par leurs tourments passionnés, découvrir l(es)' amour(s) sous un jour différent et pourtant si banal, et la magie opère. Rohmer est un des (trop) rares à faire en sorte d'élever son public, mais sans mégalomanie ni snobisme, car certain de l'intelligence et de la sensibilité de tous.
Avec un ami, nous nous étions récemment pris à rêver qu'il tournerait jusqu'à plus de 100 ans, comme Oliveira... Dommage...
Et au passage, profitons de cette rubrique nécrologique : ciao Mano !