All you need is love
Titre qui n'a rien à voir avec la planche couleur présentée aujourd'hui, sauf qu'il est tiré d'une des (plus mauvaises) chansons des Beatles. Je l'ai choisi, car je le trouvais parfait pour vous livrer mon compte-rendu de la Fête de l'Humanité, qui se tenait ce week-end au Bourget. Un compte-rendu plus mélomane que militant, car j'avoue y être allé pour assister aux concerts et non pas participer aux nombreux débats politiques (ceci dit, j'en connais qui y vont pour enterrer des vies de garçon en kilts, alors y a pas de honte...).
Une belle affiche cette année, avec les Babyshambles en guest stars le samedi, égaux à eux-mêmes, c'est-à-dire assez pressés de boucler leur concert pour se jeter vite fait leur prochain shoot d'héro. De là où on était, un peu de côté par rapport à la scène, le son était pourri, donnant l'impression que les potos de Pete jouaient faux... marrant, mais pas très impressionnant, sauf le nombre de spectateurs.
Enoôôôrme déception avec les N.E.R.D (concert que j'attendais le plus... c'est toujours risqué) qu'on n'entendait quasiment pas durant les 5 premiers morceaux, à cause des balances mal fichues. Le son corrigé, la fin du set n'était guère plus engageante. Farrel a fait monter sur scène une tripotée de nanas nunuches qui le tripotait et le photographiait, les groupies ont donc fait le spectacle. J'en déduis que la R&B soupesque livrée par le trio n'est pas calibrée pour le live.
Amicale pensée pour Alys, sextet paritaire inconnue qui a mis une bonne animation sur un stand où on a bouffé. Bravo !
DUB INC. a plu à beaucoup de gens, vu que c'est du reggae. Bon. Moi le reggae...
Le meilleur pour la fin (c'était le dernier concert de la scène Zebrock, en même temps que Cali) : Moriarty, qui, malgré des chansons plutôt calmes et folks, ont conquis le coeur de tout le public, avec des arrangements country subtiles, et la voix de la chanteuse à tomber par terre. Mention spéciale à l'harmoniciste bluesy. A voir et à revoir !
All you need is love, c'est le message visible de la plupart des militants d'extrême gauche, surtout dans ce contexte festif. Des militants qui, heureusement, dépassent ce message, finalement un peu simple, en proposant des solutions concrètes aux problèmes sociaux. Je me retrouve bien plus dans les actions des associations présentes à la Fête que dans toutes les réformes sarkoziennes et le brouillard socialiste.
Vive l'Huma !
Et comme promis, une chtite planche, en hommage à tous les syndicats de transports en commun...
Jah love !
Une belle affiche cette année, avec les Babyshambles en guest stars le samedi, égaux à eux-mêmes, c'est-à-dire assez pressés de boucler leur concert pour se jeter vite fait leur prochain shoot d'héro. De là où on était, un peu de côté par rapport à la scène, le son était pourri, donnant l'impression que les potos de Pete jouaient faux... marrant, mais pas très impressionnant, sauf le nombre de spectateurs.
Enoôôôrme déception avec les N.E.R.D (concert que j'attendais le plus... c'est toujours risqué) qu'on n'entendait quasiment pas durant les 5 premiers morceaux, à cause des balances mal fichues. Le son corrigé, la fin du set n'était guère plus engageante. Farrel a fait monter sur scène une tripotée de nanas nunuches qui le tripotait et le photographiait, les groupies ont donc fait le spectacle. J'en déduis que la R&B soupesque livrée par le trio n'est pas calibrée pour le live.
Amicale pensée pour Alys, sextet paritaire inconnue qui a mis une bonne animation sur un stand où on a bouffé. Bravo !
DUB INC. a plu à beaucoup de gens, vu que c'est du reggae. Bon. Moi le reggae...
Le meilleur pour la fin (c'était le dernier concert de la scène Zebrock, en même temps que Cali) : Moriarty, qui, malgré des chansons plutôt calmes et folks, ont conquis le coeur de tout le public, avec des arrangements country subtiles, et la voix de la chanteuse à tomber par terre. Mention spéciale à l'harmoniciste bluesy. A voir et à revoir !
All you need is love, c'est le message visible de la plupart des militants d'extrême gauche, surtout dans ce contexte festif. Des militants qui, heureusement, dépassent ce message, finalement un peu simple, en proposant des solutions concrètes aux problèmes sociaux. Je me retrouve bien plus dans les actions des associations présentes à la Fête que dans toutes les réformes sarkoziennes et le brouillard socialiste.
Vive l'Huma !
Et comme promis, une chtite planche, en hommage à tous les syndicats de transports en commun...
Jah love !